Au bord du fleuve Djoliba
J'ai rencontré la beauté bamakoise
Elle se lavait au bon milieu du fleuve
Avec ses cheveux frisants
Et son teint éclat
OH! Qu'elle est joliement attirante
Au crépuscule, sous le regard autorisé de mon coeur
Je regardais cette belle bambine jalousement
Je ne voulais pas rater la moindre seconde de ce moment inoubliable
A sa sortie du fleuve
Elle marchait doucement et lentement
Sans entendre le moindre bruit de ses pas velouteux
Oh! Qu' elle m'a rendu muet
Lorsqu'elle s'habillait, je la regardais discrètement et prudemment
A sa surprise totale de voir au crépuscule un Don Juan,elle est brusquement devenue muete
A partir de cet instant, nous sommes attirés par l'amour, une force plus forte que nous.
au crépuscule, j'ai traversé le paradis par des caresse frissonnantes et piquantes.
vendredi 15 juin 2007
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